Hypocrisies et bonheurs crasseux des footballeurs

Comment ne pas être agacé par ces photos innombrables de femmes de footballeurs souriantes ? En tout cas, moi, je le suis et j’en ai strictement rien  à cirer que l’on me dise que c’est la jalousie qui me pousse à commettre cet article.

 

Ludivine Sagna, Sandra Evra, … et toute la tripotée de filles dont le seul achèvement dans la vie a été de sucer la bonne bite, noire, au bon moment, m’indispose. Putain de football intégrateur. J’en ai marre de cette overdose de bonheurs affichés, masquant assez mal le vide de leur psyché. Enfin, je les connais les footeux; ils ont l’habitude de ramener des trophées à la maison et toute cette mosaïque de ‘beautés’ ne reflète malheureusement que la cruelle réalité des relations surfaites de ces couples médiatiques. L’argent a du bon et j’aimerais croire que la France adore les nègres. En tout cas, quand on regarde ces couples, on pourrait croire que les femmes françaises adorent les négros. Femme blanche n’a jamais autant aimé négros que footballeurs. Rions !

 

On devrait plutôt se dire que les femmes françaises, blanches catholiques et tout le tintouin supérieur, adore les négros, blindés. A croire que l’argent est le meilleur antidote contre le racisme. L’argent crée des amours improbables. Ce que je vois quand je regarde ces photos, c’est la profonde putasserie, cupidité de la femme blanche. Elles sont si avides, encouragées par leurs familles subitement consentantes, tolérantes, qu’il suffit d’un billet pour acheter leur bonheur. C’est triste ! Un billet et la blanche se négroïse. Elle aime. Rions !

 

Évidemment, nous avons déjà parlé de ces négros aux poches pleines qui croient que la femme blanche est leur arche de Noé, la preuve ultime de réussite sociale, après la Ferrari rouge et les vacances à Miami. Ils veulent se blanchir et n’ont toujours pas compris, ces buses, que l’argent rend déjà blanc; nul besoin d’épouser une femme au QI comparable aux leurs, pour faire décor.

Les négros de l’équipe de France ont des épouses blanches. C’est presque devenu une règle d’or. C’est gros comme mon nez. Tout le monde voit et personne n’en parle. Tabou ? Ces incultes posent avec leurs vacuités. Ils rient, s’exposent, avec leurs trophées, leurs chéries, leurs rejetons, leur bonheur à la Cosby show, nègres de salons sans neurones, intronisés par l’opération de Saint-thune, abrutis convaincants et demi-lorettes convaincues, réunis dans une entreprise de blanchissage social ridicule, inefficace, insupportable, contre-productif. Si c’est ça l’odeur du métissage, alors, il pue.

 

Plus je regarde les femmes de footballeurs de l’équipe de France, plus je respecte les vraies, du Bois de boubou, qui s’assument et n’habillent pas leur vénalité de beaux sentiments. Oh oui, elles sont belles, les belles oies blanches de nos creux chevaliers modernes. Et ils sont des modèles d’intégration française. C’est beau ! Ballon au pied, pute au bras, union des mesquineries actuelles. Car au fond, qu’est-ce qu’une femme de footballeur ?

 

Osez le bon sens !

YDM

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