Cul de banlieue – AveMaria, las nalgas venidas de España

Pourquoi j’ai directement kiffé quand j’ai vu la photo de cette fille ?

Parce qu’elle a un cul de déesse et que tu auras la tête dedans jusqu’à la bite (Al Pacino dans Heat)

 

 

AveMaria, las nalgas venidas de España

 

Salut jeune inconnue ! Comment doit-on t’appeler ?

AM- Barbecue !

 

Pourquoi ?

AM- Mon père est espagnol et cuisine très bien. J’aime les barbecues à cause de lui. Et là, je rentre en Espagne et je sais qu’il va me faire des barbecues. C’est pour ça ! Tu as dit que je dis [e] ce qui me passe par la tête, non ?

 

Oui, c’est vrai ! Et comment décrirais-tu ton popotin ?

AM- Toi, t’es vraiment con ! (Rires) Comme ça, tu passes directement à mon cul. J’adore mes fesses. Elles sont grosses et je sais que les garçons me regardent pour ça. Elles sont mieux que Beyoncé [les fesses de Beyoncé] et mon ami m’a dit qu’il est tombé amoureux de moi le jour où il m’a vu au restaurant [elle est serveuse] entrain de ramasser les plats d’une table.

 

 

Et tu es de quelle origine ?

AM- Je suis métissée comme on dit ici. Papy est espagnol et ma mère est du Cameroun. Je suis venue en France pour travailler. En Espagne, plus de boulots. C’est la crise. Tu sais ! Donc, j’ai quitté ma ville pour venir à Paris où j’ai de la famille. ça fait maintenant… deux ans. ça va !

 

Comment est la vie en France ?

AM- ça va ! C’est mieux qu’en Espagne pour le travail. Mais je préfère l’Espagne. Il fait chaud et il y’ a la plage. Ici, c’est chaud et il n y a rien. La piscine coûte chère. Mais sinon, c’est bien. J’envoie de l’argent à mes parents et je commence à bien parler français. Je travaille sur Paris et j’aimerais y habiter à cause transports, trop long. Et ça pue !

 

Je l’espère pour toi ! Tu aimes ton cul ?

AM- Tu es fou, toi ! Bien sûr ! Quand je vois les autres filles avec leur petit cul, je trouve qu’elles ne sont pas top ! J’aime mes formes et mon cul est la … comment vous dites déjà ? cerise sur gâteau pour mon homme. Les hommes sont fous. Si tu savais comme ils me dérangent quand je… marche.

 

Et tu les mets en avant ?

AM- Comment ? … Ah je m’habille pour me sentir bien. J’ai des formes alors je les montre. Si les gens regardent, c’est leur problème. Partout, je me fais draguer alors j’ai l’habitude. Je sais que c’est à cause de mes fesses et de ma peau. Vous les africains ! Tous les jours, je me fais draguer par un black. Ma chérie, tu es magnifique. Ma chérie, je veux t’épouser, tu es trop belle. Vous là ! Vous aimez trop les grosses fesses. Malades…

 

On ne va pas s’excuser d’aimer les bonnes choses, non plus ! On peut savoir où tu vis ?

AM- Non! Je préfère que les gens imaginent. Et je ne veux pas qu’on me reconnaisse. Mon homme, oui ! Je vais lui montrer. Il va être fou (rires).

 

 

 

Les gens veulent savoir ! Tu vas les faire languir ?

AM- Quoi ? [je lui explique le mot] Je sais (rires) C’est normal, je suis une femme, non ?

 

Et tu as quel âge ?

AM- Demande pas ça à une femme ! Tu es fou, toi ! J’ai 20 ans ! (rires) [elle ment ! elle en a probablement 5 de plus]

 

Tu sais que ton cul est une arme ?

AM- N’importe quoi !

 

Si ! Le fait de résister à la mode des filles minces avec des petites fesses est un acte de résistance…

AM- N’importe quoi ! Mon cul est comme ça. Il est toujours comme ça. Je n’ai rien fait

 

 

A part manger aux barbecues de ton père. Tu aurais pu vouloir être mince…

AM- Non ! Je m’aime comme ça. J’aime mes formes. Et j’aime bien manger. Je fais du sport. ça va ! Si les femmes veulent être minces, c’est leur problème. Les hommes sont fous de mes formes. Pourquoi tu veux que je devienne mince ?

 

 

Surtout pas ! Reste comme tu es !

AM- Regarde ! [me montre ses fesses] (rires)

 

 

Et où est-ce qu’on peut d’espérer te croiser un jour ?

AM- RER D gare du nord, métisse très belle avec des formes et toujours je ris.

 

 

Super ! En tout cas, merci d’avoir jouée le jeu. Et ton cul est une pure merveille.

AM- Merci à toi !

 

 

 

Où peut-on te retrouver  en banlieue ?

AM- (rires) RER D j’ai dit !  Gare du nord, le matin

 

 

Et le soir, tu ne retournes pas chez toi ?

AM- Thierry [un collègue] me ramène jusqu’à Saint-Denis. Je prends le bus après.

 

 

Il a tout compris, Titi ! Il va te faire payer ton transport un de ces quatre…

AM- Non ! Les hommes ne sont pas tous tordus comme toi. Il est marié. Je connais sa copine.

 

Je connais ton pétard ! Si tu penses que c’est ça qui va l’arrêter.

AM- Quoi ?

 

Non, rien ! C’est un gars bien

AM- Oui ! Il est congolais et ils ont deux enfants. Il est sérieux. Pas obsédé, comme toi (rires)

 

 

Si tu le dis ! Si un lecteur de B.I. te dit « Barbecue » dans la rue, tu lui offres un dîner ?

AM- Non ! Je suis avec quelqu’un ! [elle réfléchit] Je l’écoute et je lui laisse toucher mes fesses (rires). ça va ? C’est bon cadeau, non ?

 

Oui ! Excellent cadeau ! Puisqu’on y est, > Tu me laisses toucher ?

AM- T’es vraiment con, toi !

 

Hasta siempre, Guapa !

AM- Hasta luego !!!

 

Et comment on t’appelle pour mon article ?

AM- AveMaria !

 

Je préfère Barbecue !

AM- AveMaria ! Tu es fou, toi ! (rires)

 

 

 

Mercredi, 30 juillet 2014

 

Cul de banlieue – AveMaria

 

 

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Osez le bon sens !

YDM

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