La ronde d’Halloween fait des études

C’est sans doute le jour à ne pas manquer pour les pédophiles. C’est comme si une bimbo frappait à minuit à votre porte pour vous demander du sel. Ils fêtent les morts avec leurs ganaches de monstres et moi, je me morfonds dans ma décrépitude programmée. Venu à la lumière un 1er novembre ! Destinée ! 35 ans passés sur le champs de bataille en troufion débonnaire, ordinaire et grincheux, français, comme un furoncle sur la fesse ! Il ne se passe rien. Je vis. Et je suis las.

Halloween ! La Toussaint ! J’ai fait le compte des messages reçus pour célébrer ma lente glissade vers les abîmes humaines; deux sites de vente en ligne m’ont souhaité et offert 5 euros pour mon anniversaire ! 3 amies m’ont envoyé des SMS pour me rappeler mon calvaire et mon cousin m’a appelé pour s’enquérir de la date de mon déménagement. Ah oui ! J’ai le sésame, le CDI. J’achète. Je me passe la corde au cou pour 15 ans. Je deviens adulte, au grand dam de mes aspirations. Je me casse du 93 pour le 77. Plus loin, plus France, plus vaste, moins cher, moins labouré, moins pute ! Le 93 se gentrifie et moi, je m’embourgeoise au village, aux confins de boboland. Borgne parmi les aveugles; triste comme la masturbation. Logique.

D’ailleurs, Helena m’en avait parlé il y’a quelques semaines. Hélena, une casse-burnes de bonne amie assise sur mon exaspération comme le silence sur l’inceste.

Tu vas avoir du mal à « t’amuser » dans ton coin-là ! 

Comme c’est joliment dit; « t’amuser » pour ne pas dire « baiser tes putes »

Tu vas avoir du mal à « baiser des putes » dans ton coin-là !
La pauvre ! Même en Afghanistan, les putes font recette. Alors, le 77 !

 

Le 17 n’est point alarmé. Affamé, affalé mais toujours aussi agressif devant une choune. Bien au contraire ! Il se porte comme un charme. Dimanche 30, j’ai une escort-girl chubby comme ils disent sur Youporn qui s’est aventurée dans ma casemate pour une partie de couinements mutuels. 110C, une bobine agréable, un cul de blanche, une candeur de blanche, une lubricité de blanche. Une grosse blanche. Léa. Étudiante de 24 piges échappée de Ferrysity quelques heures pour survivance financière. Dure réalité ! Tengo los pesos ! Tienes las nalgas !Todo va bien, chiquita !

Elle veut devenir prof, prof d’histoire au collège. De mon frein aux capétiens, il n’y aura qu’une main, qu’elle a, doucereuse, baladeuse, enquiquineuse. Ex-pute devenue prof. Belle évolution !

A 20 heures, elle m’envoie un mail d’excuses:

– Je suis au métro mais je ne peux pas venir car j’ai 15 minutes de marche dans une rue déserte et toute noire.

J’ai failli avoir un claquage du désir. Mais vieux pervers ne craint pas l’imprévu.

Je viens vous récupérer, attendez-moi !

10 minutes plus tard, j’ai la tête dans ses attrape-couilles, ma main droite sur sa hanche, ma main gauche sur sa précieuse et je me sens désiré: ouf !

Faut croire qu’elle ne s’attendait pas à grimper une telle pyramide car elle était bouillante, la grosse. Délicate. Acharnée sur mon monsieur comme un missile sur sa cible. Elle lui a tout fait, à Pépito, et pendant de longues longues minutes. Elle aimait ça et ça se voyait, ça s’entendait, ça se ressentait.

Malheureusement pour elle, j’ai le crachat difficile, comme un peuhl dans le désert. Alors, on s’est fait plaisir et l’heure bookée s’est naturellement transformée en 2h30. Et elle était encore partante. Grosse pute jamais rassasiée contre vieux John toujours braqué. Car il faut bien se rendre à l’évidence, ça faisait un moment que je n’avais pas si bien baisé. Bref, j’avais le cerveau sur la langue, la langue dans sa vulve, sa vulve dans les écumes. C’est doux l’enfer, Seigneur ! Je la sodomiserai la prochaine fois. Parole de lapeur!

 

Elle m’a sucé jusqu’à satiété, avec bonheur, sans jamais se plaindre que je tienne indéfiniment. On s’est  retournés le désir tout le long et la flamme dans mes reins n’a jamais cessé de s’entretenir; Pepito, rageux toujours menaçant comme à ses 15 ans. Match nul ! Puis, je l’ai démonté, alternant l’assaut bestial à la Woodman et la forge élégante à la Ceray. Elle suit. Relance. Joue sa partition à merveille. Elle ira loin, la prof. Elle ira loin, la pute. Et je sais de quoi je parle.

De nos jours, les bonnes putes sont aussi rares que les putes bonnes sont versées sur le trottoir virtuel. Des putes qui ne savent pas baiser sont légions; la crise est passée par là. N’importe quelle chatte s’enchienne pour quelques euros bien sentis. Il y’a quelques semaines, dalleux comme d’hab, j’ai recontacté une lorette du net; nous la nommerons Lulu, métisse sans autre intérêt que sa disponibilité. 40 e pour une fell. J’avais déjà eu un mal fou à la baiser, tellement elle était inexpressive. Une momie. Un bout de bois avec une fente. Froide comme Poutine en Sibérie. Ce soir-là, il me fallait cracher pour relâcher la pression. Après avoir fouillé tous les recoins d’internet sans succès, je me suis résolu à la contacter et elle était dispo, icewoman. Une turlutte, elle saurait au moins s’y prendre.

Ce fut sans doute les 40 minutes de désespoir profond et de sincère pitié dont il me fut donné l’occasion de vivre dans ma vie. Et pourtant, elle y allait, la gloupgloupeuse. A un rythme soutenu, elle montait et descendait sans aucun répit. Une vraie performance physique. J’ai craint pour ses cervicales. Sa salive s’est tellement écoulée sur mon lit qu’on aurait cru que j’avais pissé. Elle a dû en perdre au moins un litre. A faire inlassablement le même mouvement de va-et-vient buccal. Même un robot aurait manifesté plus de sensualité. Au bout de la dixième minute, je me suis mis à chronométrer son endurance. Jamais elle n’a faibli. Au bout de l’ennui, à l’approche de la cruauté sadique, je l’ai libérée de sa débauche d’énergie futile.

Il ne suffit pas de l’ouvrir, de l’écarter. N’est pas bonne pute qui veut ! C’est un métier de savoir baiser. L’une des meilleures qualités d’une femme, si ce n’est la meilleure. Et rares sont les femmes qui savent baiser.

Combien de filles m’ont vraiment marqué par leur dextérité érotique ? 2 – 3.

Combien de filles m’ont fait perdre la tête grâce à leur sexe ? 0

Combien de filles sont persuadées de m’avoir fait perdre la tête ? Toutes

Si les hommes sont si mauvais au lit, c’est parce qu’ils ont toujours eu de piètres partenaires sexuelles. Bien des femmes sont de mauvaises baiseuses et si elles sont si souvent trompées, c’est à cause de leur nullité sexuelle. La seule excitation réelle qui demeure vivace est le moment où on monte les escaliers, qu’on ouvre la porte… Parce qu’après, le soufflet retombe lamentablement à la vue d’autant de pauvreté libidineuse. J’ai préféré les putes aux copines, pensant que leur expérience les sauverait. Le drame aujourd’hui, c’est que les putes ne sont pas bien meilleures que les copines. J’aurais d’ailleurs dû le comprendre. Grâce au web et sa nuée d’escorts-girls, les putes sont des copines qui tapinent. Les putes ne savent plus donner du plaisir. Elles baisent comme ta copine. Triste évolution !

Chères mères, redites-le bien à vos filles 2.0: pour avoir de bonnes relations, il faut faire bonnes fellations. Le bonheur de tout homme ne tient qu’à une pipe ! Foi de bite.

 

Alors quand on en tient une qui sait un peu taquiner du mandrin, on ne l’abîme pas. On enregistre le numéro avec 3 smileys.
Donc, je l’ai raccompagnée. Et je suis revenu me finir à la main. Retour à nos misères tristes. Déjà le 31 ! Halloween, jour férié pour bibi. Pépito s’endort pépère sur ma cuisse et ensemble, nous nous remémorons cette délicieuse évanescence surgie des entrailles du net à la veille de mes 35 ans. Un enchaînement de médiocrité, de banalités, d’infimes instants de félicité. Une année va s’achever. Joyeux anniversaire, Magson de Pazou. Et j’en suis encore là !

Osez le bon sens !

Be the first to comment on "La ronde d’Halloween fait des études"

Leave a comment