Les héritiers de Anna Short Harrington, la dame qui est devenue Aunt Jemima (tante Jemima), représentée par D.W. Hunter, ont porté plainte contre PepsiCo, The Quaker Oats Company, Pinnacle Foods Group et the Hillshire Brands Company.

Hunter – l’arrière-petit-fils d’Harrington – demande 2 milliards de dollars, plus des dommages et intérêts. Il déclare que les entreprises ont conspiré pour refuser qu’Harrington était une employée de Quaker Oats, pendant qu’elles exploitaient son image et ses recettes pour faire des profits, et qu’elles refusaient de payer une « part équitable des royalties » à ses descendants depuis plus de 60 ans, rapporte le Chicago Tribune.

Harrington avait été choisie pour ce rôle à cause de sa recette de pancakes, que la société a recréée pour être vendue dans les boutiques, mais sa famille croit que l’exploitation raciale était impliquée à ce deal.

Ils clament qu’Harrington avait été déconseillée de solliciter un avocat pour défendre ses intérêts – exploitant son manque d’éducation (analphabétisme), ainsi l’entreprise n’aurait pas à payer pour sa recette.

Pour en savoir davantage sur l’histoire d’Aunt Jemima, EurWeb.com

 

En plus, selon la Tribune, « la poursuite se base sur le Screen Actors Guild residuals and standard policies dans l’industrie du divertissement visant les déclarations de revenues dont, ni Harrington, ni ses héritiers n’ont rien reçu. C’est seulement quand ils ont découvert en 2013 que Quaker Oats avait déposé la photo d’Harrington en 1937 que la famille a déterminer qu’ils leur devaient des royalties. »

 

 

 

Traduction de l’article de MadameNoire