Ukraine : Caroline Fourest dans ses oeuvres, débusquée par Olivier Berruyer

Voici ce qu’on pourrait appeller, une mission homo. Olivier Berruyer démonte point par point, chaque assertion fallacieuse de la journaliste féministe humaniste Caroline Fourest. La pauvre voit ainsi étalée toute sa médiocrité professionnelle. Quel exercice sadique ! J’ai même eu pitié de cette pauvre fille. ça vous prendra 10 minutes mais c’est une exécution comme on n’en voit plus de nos jours.

 

Osez le bon sens !

YDM

 

 

 

23 Mai – Les Crises

 

[Tout s’explique !] Les barbares russes de Caroline Fourest : sa source était un fan d’Al-Qaeda…

 

 

Madame Fourest,

 

Je vous réponds puisque vous m’avez cité nommément dans un article du 9 mai du Huffington Post. Cet article faisait réponse à mon propre billet sur votre Chronique de France Culture du 6 mai titrée « Les médias ukrainiens et russes à des fins de propagande pourraient générer des haines irréversibles ». Sous le patronage de ce beau titre, vous avez pourtant indiqué :

 

« On en a moins parlé mais [les « pro-russes »] ont aussi capturé 3 officiers ukrainiens avant de les exhiber devant les caméras un bandeau de sang sur le visage. Les paramilitaires séparatistes venaient de leur arracher les globes oculaires avec un couteau.  Comment s’étonner dans un tel climat que les ultra-nationalistes ukrainiens soient devenus totalement incontrôlables ? ».

 

Comme, après une rapide recherche de ma part, ce fait barbare s’est révélé faux, j’ai rédigé mon billet « Chronique de la Haine ordinaire », clin d’œil tant au regretté Pierre Desproges qui prononça ses chroniques sur la même radio que vous (où, comme le rappelle Wikipédia, il « épinglait les travers et les ridicules, pointant la bêtise et l’intolérance ») que, bien entendu, aux deux minutes de la haine d’Orwell dans 1984.

 

Je vous remercie en tous cas de votre réponse – qui m’a surpris : c’est vraiment beaucoup d’honneur que vous me faites – même si je comprends mal pourquoi vous n’avez pas choisi de répondre aux multiples autres personnes qui se sont étonnées de vos propos, comme par exemple le vigilant Daniel Schneidermann sur l’indispensable site Arrêts sur Images (Gazette n°334), auteur d’un cinglant « À propos de l’Ukraine aussi, c’est le grand festival du n’importe quoi. » – on ne saurait mieux dire.

 

Vous notez dans votre réponse qui m’est adressée :

« J’aimerais également qu’Olivier Berruyer m’explique ce que signifie son commentaire accompagnant la vidéo sur les trois officiers ukrainiens ayant les yeux en sang : “En fait ce sont seulement 3 agents des services secrets ukrainiens SBU – Groupe alpha, qui ont été capturés par les anti-maïdan de Donestk”. Le “En fait” sous-entend que j’ai menti sur le fait qu’il s’agit de trois officiers capturés par ceux qu’il appelle les “anti-Maïdan”. Or c’est ce que j’ai dit… Quant à ces trois mots — “ce sont seulement” — ils sous-entendent que la torture n’est pas si grave puisqu’il s’agit “seulement” d’officiers ukrainiens. Ah non pardon, ils sont en sang mais la torture n’est pas évoquée… Ils ont — seulement ? — été “capturés”. »

 

Vous avez totalement raison.

 

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