Twittergate : pourquoi Valerie Trierweiller a eu raison de soutenir Falorni ?

Ces qualités qui se perdent irrémédiablement. Le cas de Valérie Trierweiler est emblématique de cette inversion des valeurs qui irrigue actuellement nos sociétés.

1. Fidèle. Contrairement à la doxa corrompue qui braille et la voue aux gémonies, cette femme est restée fidèle à son ami, Olivier Falorni; l’un des rares membres du PS à avoir accompagné Hollande dans sa traversée du désert. Elle a fait part de sa gratitude à ce type qui n’avait jamais démérité et ça, c’est hautement plus respectable que toutes les justifications oiseuses données pour la conspuer. Elle s’est levée pour son ami.

2. Méritante. Cette dernière s’est faite un destin. Elle vient d’en bas et s’est élevée dans la société. Rien ne lui a été donné dans la vie.

3. Forte. L’on peut logiquement considéré, qu’au vu des journalistes actuelles, elle ne soit pas qu’un simple mannequin parlant, mais plutôt une femme de conviction, solide, et combative.

4. Persévérante. C’est une remplaçante qui a réussi à évincer la titulaire. Cela devrait donner de l’espoir à toutes les maîtresses d’hommes politiques qui patientent indéfiniment dans l’ombre.

5. Loyale. Dans son combat contre sa rivale. En effet, elle a osé dire publiquement ce qu’elle pensait, en publiant son tweet au lieu de manœuvrer en coulisses comme cela semble être la règle dans ce milieu. Elle a assumé son attaque, bien faciale et cela est respectable.

6. Féministe. Elle a fait passer ses intérêts de femme sur ceux de son concubin. Les féministes devraient se réjouir de savoir que cette femme s’est sentie assez sûre d’elle pour prendre sa décision. Et ne s’est pas écrasée devant François.

Osez le bon sens !

YDM

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