Sous la pension alimentaire et les prestations compensatoires, le sacre de la vénalité de la gente féminine

Une fois de plus, une célébrité va se faire tondre par son ex-femme : Slash. Encore un autre sombre « idiot » (amoureux) qui devra donner la moitié de sa fortune à une femme pour la simple raison qu’elle a été sa femme. Oui, je répète. Pour la simple raison qu’elle a été sa femme. Car, nous en sommes là ( et las aussi), de ces progrès qui s’imposent à tous mais jamais entièrement.

 

 

Slash (ex-Guns N’ Roses) divorce : sa femme devrait toucher le jackpot ! Tel le titre de l’article de Voici. C’est devenu le jackpot d’avoir épousé un homme riche. C’est ce à quoi est réduit le féminisme de l’époque. Exhiber ses seins, Exposer sa bêtise et monnayer sa présence auprès des hommes ! Il serait  intéressant que beaucoup dans ces cercles privilégiés s’interrogent sur la différence réelle entre une pute et une ex-femme. J’ai toujours pensé que les prostituées étaient des femmes bien plus honnêtes que celles qui entourent riches, célèbres et puissants. Mais il est des putasseries célébrées et des putasseries exécrées. Rions !

Le féminisme est une réalité imposée à la population et il ne fait plus de doute pour personne que l’homme doit désormais conjuguer avec la femme dans toutes les décisions. Et à bien des égards, c’est bien. Seulement, il est des rivages inatteignables pour ce féminisme. On aura beau vous dire que l’égalité entre les deux sexes est totale; vous savez pertinemment que lorsque vous emmenez une femme au restaurant, c’est vous qui raquez; et c’est normal. A l’égalité des sexes, nous préférerons toujours la galanterie.
Nous aurions simplement aimé que ces supposées féministes taisent aussi leurs mauvais penchants, et notamment leur vénalité.
Si les femmes doivent être indépendantes, il serait précieux pour leur épanouissement et leur cohérence, qu’elles cessent de dépendre de systèmes obsolètes d’assujettissement de leur genre. Car la communauté des biens et le fait que l’on s’assurât que la divorcée ait de quoi subvenir à ses besoins après le mariage, sont des legs d’un patriarcat suprématiste et misogyne. Ces derniers, les élites en l’occurrence, considéraient que les femmes n’étaient pas capables de se prendre en main et donc, qu’il fallait que l’ex-époux s’en occupe comme un enfant pour maintenir un certain niveau de vie et de confort afin que cela ne nuise pas à leur statut social.

Il me semble que c’est tout de même « antiféministe » pour une femme de recevoir de l’argent de son ex-mari sous le prétexte qu’il aurait constitué sa fortune grâce à elle. Qu’elle aurait été l’influence de la femme de Slash sur la production artistique de ce dernier ? Lui a-t-elle appris à jouer de la guitare ? Lui a-t-elle écrit des chansons ? Lui a-t-elle apporté un concours quantifiable qui justifie qu’elle soit rétribuée ? Je trouve méprisant, machiste, sexiste que les femmes en soient réduites, encore aujourd’hui, à compter sur des lois machistes pour gagner leur vie.

Je crois que ce système est corrompu, a perdu tout son intérêt social et est devenu une belle arnaque au mariage, au dépens des hommes et des enfants. En effet, ces enfants sont devenus le motif commode et inattaquable pour extorquer leurs pères. Nul besoin de mentionner l’accusation de pédophilie ou de viol sur ses propres enfants pour ruiner la réputation de son ex, devenu à la fois l’objet de son mal-être, les bourses de son désespoir et la bourse de son avenir.

La rapidité avec laquelle certaines ex-épouses vont chez un avocat pour réclamer arrogamment des sommes folles de leur ex-mari questionne la sincérité du contrat passé. Jusqu’à quand devrons-nous, hommes acceptent de nous faire déposséder par une loi obsolète, du travail de toute une vie, à cause du bien-être d’une ex-femme cupide ?

Je ne suis pas riche, et visiblement, c’est très mal engagé. Néanmoins, si le féminisme, l’égalité des sexes et toutes les implications résultantes sont véridiques, alors il est de l’intérêt des femmes et des hommes de changer cette distorsion de la loi qui fait que 50% de vos avoirs vont à votre ex-femme. Les situations sont parfois tellement ridicules qu’on en arrive à avoir des hommes qui payent des pensions exorbitantes pour des femmes d’une autre vie alors que leur propre famille vit dans la pauvreté. C’est le cas par exemple de l’acteur Terrence Howard qui était obligé d’accepter toutes sortes de travail pour arriver à maintenir le niveau de vie de femmes dont le seul mérite dans la vie avait été de sucer la bonne queue à un moment de faiblesse.

Ce dédommagement pour abandon du foyer familial était justifiée quand les femmes dépendaient exclusivement des hommes. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Ou plutôt, ce n’est plus censé être le cas aujourd’hui. Perpétuer cette industrie de spoliation des biens des hommes au bénéfice unique des femmes est injuste, inéquitable et sexiste. En aucun cas, cela ne permet de promouvoir le mariage. Si l’amour, c’est véritablement ce que c’est supposé être, alors ces femmes cupides devraient être détournées de leur recours malhonnête et déloyal. Plus que jamais, quand on aime, on se doit de compter; et c’est dû à la rapacité de certaines femmes qui ne reculent devant rien pour nuire aux hommes qu’elles sont censées avoir un jour, aimés.

Pour le rayonnement du féminisme, que ces femmes cessent de corrompre cette noble et belle institution qu’est le mariage. Et puis, quand on se respecte un peu et qu’on ne trouve plus que la personne que l’on a fréquentée pendant des années est un être monstrueux et indigne d’être aimé, on ne cherche pas à lui demander de l’argent. Un peu de cohérence et d’authenticité à nos chères féministes revanchardes.

 

 

 

Osez le bon sens !

YDM

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