Le premier sexe, d’Eric Zemmour

Beaucoup de blablateurs certifiés ont crié partout que le nombre de spermatozoïdes diminuait drastiquement dans le sperme de nos contemporains. La stérilité est croissante. A cela, ils ont incriminé les pesticides (Au rythme où on va, tout ce qui déconne dans la société sera de la faute de la pollution, même la connerie ambiante). Moi, j’incrimine cette domination féministe, cette atmosphère féministe. Si les mecs ne bandent plus, c’est simplement parce qu’ils sont des meufs. Dans leur tête, dans leurs gestes.

Nous sommes des hommes, pas des femmes à améliorer. Nous sommes des hommes.

J’ai relu avec un certain plaisir Le premier sexe d’Eric Zemmour, et j’ai eu envie ce matin, de partager avec vous, cette humanité que la société nous dénie.

C’est une tape amicale sur l’épaule qui nous rappelle que l’homme est la bête à abattre dans ce système consumériste où tout a été mis en œuvre pour le castrer, le faire taire, l’arrêter.

Nous devons prendre conscience de cette détérioration de notre masculinité en nous bétonnant contre cette idéologie mortifère pour la bite. Continuez de tenir ferme, de la tenir ferme.

 

 

3 livres indispensables pour comprendre ce qui nous arrive

 

1- Vers la féminisation, d’Alain Soral. L’essentiel, tout simplement.

 

2- Le premier sexe, d’Eric Zemmour

 

3- L’Homme est l’avenir de la femme : Autopsie du féminisme contemporain, de Natacha Polony

 

 

Je mets à disposition mon exemplaire du livre de Zemmour.

 

Je vous conseille vivement de vous offrir le Soral, plus complet, plus élaboré, mieux pensé; la source probable des deux autres auteurs (sorti en 1999 !!! Faut toujours le rappeler. N’est-ce pas ?). Le Polony, je ne l’ai pas lu mais je le ferai si j’en ai l’occasion. Ce n’est pas non plus un must have. Puisqu’elle passe 2 ans après Zemmour qui lui-même, est passé 7 ans après Soral.

Il paraît qu’ Élisabeth Badinter, la philosophe milliardaire (c’est un fait. Schopenhauer était lui-même très riche et consacrait l’essentiel de son temps à penser. Donc, ce n’est pas rédhibitoire mais cela permet de comprendre l’état d’esprit de celui qui énonce un concept.) a aussi retourné sa veste et écrit sur cette féminisation des esprits. Mais on peut s’en passer. ça ne présente probablement plus aucun intérêt intellectuel quand on a lu les précédents. La resucée de la resucée de la resucée de Soral… On en revient à l’intellectualisme français. Médiocre.

 

 

 

Osez le bon sens !

YDM

 

Be the first to comment on "Le premier sexe, d’Eric Zemmour"

Leave a comment