Fils de président : le couillon de service, la honte de l'Afrique

Couillon aux cheveux gominés, en Zegna, au volant d’une Bugatti Veron, ripoliné et italien jusqu’au bout des ongles… Plus italien que Berlusconi, Obiang Nguéma Téo, une caricature de la vanité. Ce qu’il y’a toujours de marrant avec ces enfants gâtés (gâchés), c’est qu’ils croient véritablement qu’on les respecte, qu’on les envie ou qu’on les apprécie. Ils se font braquer leur pétrole, les États-Unis leur en donne quelques piécettes, ces crétins, aussi vaniteux qu’incultes, sans aucun sens de la dignité, s’empressent de venir les dépenser en Occident pour acheter des futilités : c’est le nouveau commerce triangulaire, le commerce triangulaire inversé : avec l’éternel mugu de service, le fils de président africain; probablement une survivance de l’ancien chef de village qui n’hésitait pas pour quelques babioles, de la verroterie de vendre ses frères aux marchands d’esclaves arabes, portugais, anglais ou français. Rien ne change.

Avec de tels bouffons, l’Afrique n’est pas prête d’avoir sa liberté. Quand tu penses que les habitants de son propre pays ne comptent que sur le Cameroun pour becter… Les cheikhs de pays arabes se laissent aller à leurs extravagances parce qu’ils savent que le dernier citoyen de leur État, bénéficie directement de la rente pétrolière (assisté totalement, il ne travaille pas, a une allocation pour vivre, des conditions de vie très favorables, une éducation de qualité pour ses enfants,…). Ce pauvre locataire de ma couleur me fait penser à ces hommes très chics dans leurs belles voitures qui ont toujours le frigo vide à la maison. On les connaît et on se fout toujours de leur gueule quand ils ont le dos tourné. Voilà, ça frime, ça frime mais dans l’arrière-cour, c’est la misère la plus crasse. Le nègre fils de président flambe sur Paris en Lamborghini, si fier et si ridicule, héritier de Bokassa 1er, couillon favori de ses maîtres.

Tu parades et consommes comme une bécasse parvenue qui vient d’enterrer son vieux micheton et les tiens n’ont même pas de chaussures pour aller à l’école. Dépenses, Bamboula, tellement con que ta connerie m’est agréable à contempler. C’est ce qu’ils te disent tous, ces glaireux vendeurs de tes petits péchés de spoliateur du peuple africain.

Obiang Nguema serait entrepreneur… Vanne de Me Pardo ! Rions !

Chassé du temple de sa démesure comme un vulgaire mendiant.

Et ces maîtres, si démocrates et droits-de-l’hommistes, préfèrent s’attaquer à des pays qui ont une autre idée de la dignité, du respect de soi, de la grandeur que ces couillons absolus. Logique ! Tartufferies. On ne se refait pas.

 

Osez le bon sens !

YDM

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