De la bouche d'un policier : 10 astuces aux jeunes hommes noirs pour traiter avec la police

Je vais être honnête ici, quand j’ai découvert que j’allais avoir un garçon, mon coeur a trésailli un peu. Ce n’est pas que mon mari et moi ne voulions pas de garçon – en fait, nous étions excités d’avoir un garçon comme premier enfant car il assumerait le rôle de grand frère, quelquechose que mon homme a apprécié dans sa famille où il était entouré de filles. Malgré cela, je ne pouvais m’empêcher de me faire des scénarios « et si » qui viennent quand on élève un jeune homme. Et s’il est le seul enfant de couleurs parmi ses amis ? Et si les policiers l’arrêtent parce qu’il a un certain profil ? Autant que je ferais de mon mieux pour le protéger des maléfices de la vie, on ne peut pas arrêter chaque mauvaise chose d’arriver. Mon propre mari a été arrêté quelques fois par la police locale et il porte un polo et des Dickies pour l’amour de Dieu ! Pour sûr, ça peut arriver à n’importe qui, je ne peux que penser à ces situations routinières qui deviennent dramatiques quand les gens sont pris au dépourvu.

Heureusement, je suis la fille d’un policier désormais à la retraite qui ne peut pas seulement me donner des conseils sur comment être un bon parent, mais le schéma du point de vue d’un policier sur comment son petit-fils peut gérer une altercation avec la police. Je parle de ces fois quand un jeune homme n’a rien fait de mal.

 

10 astuces pour les jeunes hommes noirs de traiter avec la police

Limiter les contacts. Que vous soyez arrêter parce que vous êtes en faute ou non, entrez et sortez. Le plus un policier a de contact avec vous, le plus de temps il a de trouver quelque chose.

Contrôler vos propos.« Premièrement, vous ne pouvez pas laisser la situation devenir conflictuelle, » note mon père. Pourquoi vous querellez ? Les policiers notent aussi ce que vous dites. « Eh oui, j’ai utilisé les choses stupides que les gens m’avaient dites au tribunal. »

Soyez respectueux. « Oui, monsieur, non, madame » – L’éducation familiale peut vous sauver la mise. Essayez de rendre la situation aussi confortable que possible. « commencez la discussion gentiment, ne commencez pas stupidement. »

Taisez-vous ! Si vous conduisez avec d’autres passagers dans le véhicule, dites à tout le monde de la boucler car leur bouche peut mettre tout le monde dans les problèmes. « Maintenant, vous me permettez d’avoir accès à tout un chacun, » note mon père.

N’en faites pas une affaire personnelle. Dit simplement, laissez le policier faire son boulot et soyez coopératif. Dit dans les mots de Denzel dans Training Day, « tu veux aller en prison ou tu veux rentrer à la maison ? »

Les policiers sont humains. « Si vous m’attaquez avec ‘putain, pourquoi vous m’arrêtez ?’ Je ne vais pas être gentil, » dit mon père. Ne hurlez pas et ne criez pas car cela n’aide pas – Les policiers sont des gens aussi et peuvent s’énerver quand on les tanne. Personne n’aime qu’on lui crie dessus.

Ils peuvent fouiller votre voiture. Si vous pensez que dire à un policier qu’il n’a pas un mandat va rendre la situation meilleure, repenses-y, garçon. « Un policier peut faire des recherches s’il a un doute raisonnable. » révèle mon père. Oubliez ce que vous voyez à la télévision les mecs car la quête de mandat pour un véhicule est moindre que pour une maison. La cause probable est déterminée par le policier, donc pourquoi l’énerver ?

Il n’est pas toujours avisé de filmer la situation. « Si vous devez le faire, ne soyez pas très direct ou agissez d’une manière qui ne braque pas le policier, » recommande mon père. Avoir ses propres preuves de ce qui s’est passé peut vous aider plus tard, mais agissez avec tact.

Demander de l’aide. Ne soyez pas effrayer de demander l’intervention d’un autre policier présent
car souvent, cela peut aller dans votre sens. « Pas tous les policiers mentent pour se courir mutuellement, » mon père dit et ajoute même que plusieurs d’entre eux ne veulent pas être responsables pour un policier qui n’agit pas professionnellement.

Gérez les procédures ultérieurement. « Si c’était un arrêt sans cause réelle où vous avez coopéré et malgré cela, avez été arrêté, alors vous pouvez contacter l’IGPN (police des polices), note mon père. « Vous ne gagnerez jamais une bataille avec la police au bord de la route. Donc, tirez-vous de là prudemment et gérez la procédure plus tard. » Notez le numéro du véhicule de patrouille puisque certains policiers ne portent pas toujours leur badge. Conservez autant d’informations que vous pourrez, pour pouvoir l’utiliser plus tard.

 

 

Traduction de l’article MommyNoire de Tanvier Peart

 

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