Chiasse-pot se déleste d’une caresse-anus plagiaire : Agnès Chauveau

Un vent de déontologie souffle sur la nomenklatura française : la directrice de l’école de journalisme, ou plus clairement de l’école de caresses-anus en chef, Chiasse-pot pour les intimes, est entrain de se faire lourder par ses collègues pour cause de plagiats multiples.

Pour une fois qu’une tête pourrie tombe, l’on est en droit de s’étonner et surtout de se demander ce qui a bien pu les toucher ce système gangréné depuis des décennies par la médiocrité, le népotisme, l’escroquerie, le parasitisme social… Qu’est-ce qui les prend, là-haut ? Prennent-ils enfin conscience de l’inadmissibilité de leurs errements professionnelles ?

Si elle a pu prospérer pendant des années et se retrouver à diriger l’école qui forme l’élite des caresse-anus de France, l’on est en droit de s’interroger sur tout ce milieu, sur ceux qui se faisaient piller (caresse-anus) et qui n’ont jamais réagi, et sur ceux qui ont constaté le pillage (le travail numéro 1 d’un gratte-papier en France, c’est de lire ses collègues. Et ensuite, de retranscrire leurs articles dans son propre torche-cul.)

Et s’ils n’ont rien constaté pendant toutes ces années, ça vous situe le niveau d’exigence professionnelle, de sérieux de ces bouffons. Vous me direz qu’ils n’ont toujours pas eu connaissance du fait que leur Alain Minc adoré est un monument de la contrefaçon intellectuelle. Le CSA compte actuellement une éminente plagiaire (Catherine Laborde pour ne pas la nommer) en son sein : ils ne sont pas au courant. Sacrés journaleux; ne sont plus à une bassesse près. Triste époque !

 

 

 

Osez le bon sens !

YDM

 

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