Barbara Carlotti (née à Clamart le 2 juillet 1974) est une chanteuse française.
Source : Wikipedia
Comment fonctionne l’évaluation textuelle ?
Évaluation textuelle de cet album – L’amour l’argent le vent – est de soit 8.70/20 (104.48/12).
Il peut donc être qualifié d’album textuellement médiocre – à découvrir
Qu’ai-je pensé de cet album ?
C’est la première fois que je suis dégoûté de voir une si bonne chanteuse avoir une si mauvaise évaluation. Elle a une voix magnifique et ses chansons ont été super bien produites. De très belles mélodies. Couplées à des textes de qualité, on crierait au génie. Malgré l’évaluation, pour l’évasion, le voyage qu’inspire son album, je le conseillerai. C’est l’album le plus textuellement médiocre à découvrir.
Je marche nue, les pieds nus
Les jambes nues, les bras nus [1]
Sur la lagune
Et j’aime le vent, l’amour et l’argent [1]
Toutes ces choses qu’on ne compte pas
Toutes ces choses qu’on ne compte plus
Toutes ces choses qu’on ne voit pas [1]
Toutes ces choses que je n’ai plus [1]
Le vent se lève sur la plage
Je marche nue tu vois
Je n’ai rien sur moi [2]
Toutes ce choses qu’on ne devrait pas
Avoir sur soi
Et le soleil sur les vagues
Fait des entre-la [1.5]
Et ce n’est pas parce que la nuit tombe
Que je tomberai à genoux devant toi
J’attendrai que le soleil se lève et le vent avec moi
Et les gosses jouent non loin de là
A des jeux d’adultes tu vois
A des jeux de brute c’est ça [1]
Et les gosses jouent ils savent déjà [1]
L’amour, l’argent, le vent
Sont des choses qu’on ne compte pas
Des choses qui existent la vue
Des choses qu’on ne donne pas
Pour rien comme ça
Que le vent se lève sur la plage.
Source : paroles.net
Evaluation YDM,
– Rimes 8.5/28 pts
– Punchlines 0/2 pts
– Profondeur 0.25/1 pt
– Mélodie 0.5/1 pt
– Flow 0.5/1 pt
Sous-total 9.75/34 soit 5.90/20
2. J’ai Changé
Regarde-moi, j’ai changé,
J’ai les traits plus tirés, [-1]
Et j’ai une drôle de tête,
Plus étrange peut-être, [1.75]
J’ai les paupières plus lourdes,
Et je suis un peu sourde, [2]
Le monde s’est éloigné, [-0.5]
Tout est beaucoup plus loin,
Les années ont filé,
Couru le long des quais,
J’ai marché, [-1.5]
Vois ces sillons creusés, [-0.5]
Sur ce frêle paysage,
C’est pourtant mon visage, [2]
Tu peux me regarder,
J’ai l’air plus fatigué,
Mon âge dévisage, [1]
Ces lointaines contrées, [-1.5]
Tout est entre mes mains,
Les lignes de mon destin, [1.75]
Tu vois tout est tracé,
J’ai la peau tatouée, [0]
J’ai changé, j’ai vieilli,
Tout en moi me trahit, [1.5]
Maintenant je vis sans masque,
Je vis avec les traces, [1.25]
De mon existence,
Tu penses, j’ai de la chance. [2]
Source : parolesmania
Evaluation YDM,
– Rimes 8.75/28 pts
– Punchlines 0/2 pts
– Profondeur 0.25/1 pt
– Mélodie 0.5/1 pt
– Flow 0.75/1 pt
Sous-total 10.25/33 soit 6.21/20
Dimanche d’automne,
hystérie monotone,
Insomnie de basse saison,
Et toi tu couches avec cette conne, [2.75]
le soleil pâle réchauffe à peine,
L’histoire s’efface et le temps traîne, [2]
Dormir ou perdre la raison, [2]
building transi sous les flashs blêmes,
Des nuits entières sans les sons,
J’ai dû perdre mon sonotone,
je n’entends plus le téléphone,
Ou est-ce parce qu’il n’y a plus personne, [2.75]
ah j’ai jamais tué personne,
J’la jetterais bien dans la Seine,
Pour graver mon nom sur son front,
Manger des fruits de saison, [1]
Découper en quartiers cette pomme,
Broyer les fruits de la passion,
la chambre verte et les néons,
Tu comprends que je dorme à peine,
la haine dans mon champ de vision, [2.25]
L’alcool donne des idées bizarres,
rester des années sans se voir, [1.5]
Oublier qu’on a eu un nom,
Source : parolesmania
Evaluation YDM,
– Rimes 14.25/24 pts
– Punchlines 0.75/2 pts
– Profondeur 0.5/1 pt
– Mélodie 0.5/1 pt
– Flow 0.75/1 pt
Sous-total 16.75/29 soit 11.55/20
Sur la grande autoroute, il fait toujours nuit
Les lumières de mes rêves défilent au ralenti [1.5]
De vagues cauchemars se forment
Les démons apparaissent drapés en blancs fantômes [1.75]
Les obsessions m’escortent, quinze motos sur la route
Oh insomnie, idiote symphonie
Oh insomnie, héroïque agonie
La nuit, la longue nuit [2]
Sur la grande autoroute je reprends le trajet
Les platanes cachent mes doutes l’arbre devant la forêt
Accélérer vaudrait le plus sûr des arrêts [2]
La police fait signe en flashs répétés, de freiner mes excès [-1]
Passer des heures à penser
ne pas percer les secrets insensés [0]
Et les yeux grands ouverts je vois passer ma vie [1]
J’ai perdu les commandes la route se cabre et tangue
Les deux pieds au plancher, toujours se réveiller
Mon corps dans le fossé [-1]
Source : parolesmania
Evaluation YDM,
– Rimes 6.25/18 pts
– Punchlines 0.25/2 pts
– Profondeur 0.5/1 pt
– Mélodie 0.5/1 pt
– Flow 0.75/1 pt
Sous-total 8.25/23 soit 7.15/20
J’ai toujours cueilli des fleurs,
Je n’ai jamais su donner l’heure, [2]
J’ai toujours aimé marcher pieds nus,
Ne me crie pas dessus, [2]
Occupe-toi de moi,
Ne me vois-tu pas, [1.5]
Je ne suis qu’une enfant,
Que peux-tu m’apprendre,
Je n’ai jamais aimé attendre,
Je ne sais pas ranger ma chambre, [2.5]
J’aime traîner très tard dans les rues, [1]
Caresse mes cheveux,
Non je ne pleure pas,
Je pense parfois, [1]
Emmène-moi très loin,
Raconte des histoires,
Dansons dans le noir, [1.5]
D’un mètre de plus,
Je tiens la distance,
Je vis dans l’instant, [1]
J’ai toujours été tête en l’air,
J’aime parfois ne rien faire, [2]
J’ai toujours eu peur dans le noir,
J’ai bon espoir, [1]
Je n’ai pas grandi,
Je n’ai pas eu le temps, [1]
Source : paroles.net
Evaluation YDM,
– Rimes 16.5/26 pts
– Punchlines 0/2 pts
– Profondeur 0/1 pt
– Mélodie 0.25/1 pt
– Flow 0.75/1 pt
Sous-total 17.5/31 soit 11.29/20
Des lunettes noires sur tes yeux bleus,
Sous ta perruque d’autres cheveux, [2]
Tu te caches petite fille,
Sous tes faux-cils couleur Ricil, [1.75]
Ouais ouais ouais ouais,
Tes mots souvent sonnent creux,
Mais c’est pas grave petite fille,
Tu pleures et c’est mieux, [1.5]
T’es si jolie quand t’as mal ça me rend folle,
De voir ce noir sous tes beaux yeux qui coule,
Tu lis souvent des magazines,
On dit que tu ressembles à Marilyn, [2]
Tu as le même sourire fragile,
T’as même déjà joué dans un film,
Tu pourrais soulager des marines,
Je veux encore te mettre une claque,
Mais sans te laisser de marque,
Laisse-moi encore te mettre une claque, [1]
Mais sans te laisser de marque, [1]
Ta démarche svelte et élastique toutes les nuits traverse la ville,
Tout est précis, merveilleux,
Allonge le pas pour voir un peu, [1.75]
Tu sors au bar (…?)
Tu te brises souvent dans l’alcool,
Mais tu ne couches avec personne, [1.25]
Ça laisse des traces indélébiles,
Et quelques fois j’imagine tes lèvres embrassant des vitrines,
Source : paroles.net
Evaluation YDM,
– Rimes 12.25/27 pts
– Punchlines 1/2 pts
– Profondeur 0.5/1 pt
– Mélodie 0.5/1 pt
– Flow 0.75/1 pt
Sous-total 15/32 soit 9.37/20
Original
Ce matin
les échos diffusent
Ce matin
de ma vie dissolue
Et cette nuit
toute une nuit sans lune
Le train filait à toute allure
Je voudrais te toucher mon amour
Te toucher te toucher me rassure
L’hiver est rude
Pars ailleurs
Partir ailleurs, partir ailleurs
J’ai des choses des choses à cacher
J’ai des choses à me reprocher
Je crains déjà d’avoir tout gâché
Je me sens loin dans ce train
qui se rapproche incertain
la musique pourrait peut être
Me faire du bien
En face de moi
Un homme dort
J’ai froid
??
j’ai froid
et toi je ne te connais pas
je voudrais dormir
je compte les minutes
C’est pire
j’ai les paupières, les paupières pleines de givre
La campagne file à toute allure
La bonne neige l’hiver est rude
Et ton téléphone sonne dans le vide
Oh ailleurs
Oh partir ailleurs
Oh partir ailleurs
Ce matin
Les échos diffusent
Ce matin
De ma vie dissolue
Et cette nuit
Toute une nuit sans lune
Le train filait à toute allure
Je voudrais te toucher mon amour
Mes pensées plus noires
Que cette nuit sans lune
Mes doutes mes espoirs,
Infinis déluges
Et ce train lancé dans le vide
Oh ailleurs
Oh partir ailleurs
Oh partir ailleurs
Évalué
Ce matin
les échos diffusent
de ma vie dissolue [1.25]
Et cette nuit
toute une nuit sans lune
Le train filait à toute allure
Je voudrais te toucher mon amour
Te toucher te toucher me rassure [2]
L’hiver est rude
Partir ailleurs, partir ailleurs, partir ailleurs [1]
J’ai des choses des choses à cacher
J’ai des choses à me reprocher
Je crains déjà d’avoir tout gâché [-1]
Je me sens loin dans ce train
qui se rapproche incertain
la musique pourrait peut-être
Me faire du bien [2.5]
En face de moi
Un homme dort [1]
J’ai froid
??
et toi je ne te connais pas [2]
je voudrais dormir
je compte les minutes
C’est pire [1.5]
j’ai les paupières, les paupières pleines de givre
La campagne file à toute allure
La bonne neige l’hiver est rude
Et ton téléphone sonne dans le vide
Oh ailleurs
Oh partir ailleurs
Mes pensées plus noires
Que cette nuit sans lune
Mes doutes mes espoirs, [1.5]
Infinis déluges [1]
Et ce train lancé dans le vide
Source : Banlieue Immigrée
Evaluation YDM,
– Rimes 12.75/35 pts
– Punchlines 1/2 pts
– Profondeur 0.5/1 pt
– Mélodie 0.5/1 pt
– Flow 0.75/1 pt
Sous-total 15.5/40 soit 7.75/20
8. L’avenir
Original
Dans mes rêves,
tu grondes et tu souris
le long du fleuve jaune
la lune nuit
l’avenir n’a jamais rose
l’avenir n’a jamais gris
jamais su
ni jamais acquis
à qui
je marche dans ton ombre
toutes les nuits
les longs des heures sombres
de mes insomnies
l’avenir n’est jamais rose
l’avenir n’esta jamais gris
jamais su
ni jamais acquis
à qui
et si d’aventure tu changes d’avis
tu vois, le vent tourne à l’infini
l’avenir n’est jamais rose
l’avenir n’esta jamais gris
jamais su
ni jamais acquis
à qui
dans mes rêves fous
l’attrait varie
dans la ville immense
il faut bien vivre
l’avenir n’est jamais rose
l’avenir n’esta jamais gris
jamais su
ni jamais acquis
à qui
Évalué
Dans mes rêves,
tu grondes et tu souris
le long du fleuve jaune
la lune nuit / luit [1.5]
l’avenir n’a jamais rose
l’avenir n’a jamais gris
jamais su
ni jamais acquis
à qui [2.5]
je marche dans ton ombre
toutes les nuits
les longs des heures sombres [2]
de mes insomnies [1]
et si d’aventure tu changes d’avis
tu vois, le vent tourne à l’infini [1.5]
dans mes rêves fous
l’attrait varie
dans la ville immense
il faut bien vivre
Source : Banlieue Immigrée
Evaluation YDM,
– Rimes 8.5/19 pts
– Punchlines 0.25/2 pts
– Profondeur 0.25/1 pt
– Mélodie 0.5/1 pt
– Flow 0.75/1 pt
Sous-total 10.25/24 soit 8.54/20
9. Quatorze Ans
J’avais quatorze ans et c’était l’été,
Je sortais la nuit, je voulais danser,
Je sortais en douce les cheveux crêpés, [2]
J’avais quatorze ans et j’aimais danser, [1]
Je sortais la nuit quand tout le monde dormait,
C’était les eighties et on s’amusait, [-1]
Une heure dans la rue, tu m’laisses pas tomber,
On était une bande on allait danser, [-0.5]
Toutes les nuits,
Bouger son corps sur le dancefloor,
On marchait longtemps super excitées,
On faisait du stop sous l’ciel étoilé,
On était heureuses et très maquillées, [0]
J’avais quatorze ans et c’était l’été, [-1]
Un gin fizz au bar, un rhum, une vodka,
Vise les mecs là-bas, [1.5]
Sur la piste de danse on fait notre entrée,
Tee-shirt blanc moulant sous l’ultra-violet,
Sur la piste de danse on fait notre entrée, [1]
On a quatorze ans et on sait danser, [-0.5]
Et les mecs viennent en regardant leurs pieds,
Et les mecs viennent danser de très près, [0]
On fixe nos sourires sous les stroboscopes,
Et nos corps se frôlent et nos coeurs se heurtent,
Source : parolesmania
Evaluation YDM,
– Rimes 2.5/24 pts
– Punchlines 0.25/2 pts
– Profondeur 0.25/1 pt
– Mélodie 0.5/1 pt
– Flow 0.75/1 pt
Sous-total 4.25/29 soit 2.93/20
J’ai cru oublier ce moment précis
où mes doigts se posaient sur le piano
je me souviens seulement c’était la nuit tu chantais
dans cet habit blanc d’été [-1]
un chant d’été qu’en disait trop [1.5]
mais il revient maintenant vague et ressac des flots
ta bouche ouvrait en notes si précises si légères et si chaudes
un champs de dunes un monde nouveau
tu en sais trop [2.75]
Mon dieu mon amour cette mélodie
me retournait le cerveau
et j’écoutais comme au ralenti [1.5]
ta voix d’enfant sans les mots [2]
C’était un soir d’été à Paris
fenêtre ouverte car il faisait chaud
mais tout s’éclaire maintenant avec une certaine ironie [1.5]
comme c’était beau
comme c’était chaud [1]
un astre clair un chant d’oiseau
nous chantions au milieu de la nuit une litanie sans les mots [1]
Aujourd’hui je me demande si c’était écrit
aujourd’hui encore il fait beau
se peut-il seulement que l’on oublie [1.5]
ces jours où l’on existait trop
comment peut-on exister trop
exister trop [1]
Source : parolesmania
Evaluation YDM,
– Rimes 12.75/26 pts
– Punchlines 0.5/2 pts
– Profondeur 0.25/1 pt
– Mélodie 0.5/1 pt
– Flow 0.75/1 pt
Sous-total 14.75/31 soit 9.51/20
Je n’ai pas le coeur à l’ouvrage,
C’est que j’ai le coeur à l’étage,
Un haut-le-coeur me ravage, [2.25]
Et je ne fais plus rien,
Je n’ai pas le coeur à la fête,
On dit que j’me suis mis bille en tête,
Un drôle de soucis, une fixette, [2.5]
Je n’ai pas le cran d’être sage,
J’ai voulu le vent et les vagues,
Me voilà échouée sur la plage, [2]
Je ne vaux plus rien,
Je ne mise plus,
Je ne brille plus,
Je m’épuise à vue, [1.75]
Je n’ai pas de papier à en-tête,
Je crois que je n’ai plus toute ma tête,
J’oublie le sens de ma requête, [1]
Je n’ai pas les idées très larges,
Et j’entends tous les commérages, [2]
On me juge, on me veut du bien,
Moi je ne veux plus rien, [1]
Il y a eu trop de bavardages [1]
Trop de mouvement, trop de frein,
Je ne vaux plus rien, [1]
Je n’ai pas le sens des affaires,
Je suis courageuse mais pas téméraire,
Je n’ai jamais su faire la guerre, [2.5]
Je n’irai pas plus loin,
Je n’ai pas le goût de l’épreuve,
Vous faut-il des traces et des preuves, [2]
Des aveux livrés sous alcool,
Je ne sais plus rien,
Dehors il y a avis de tempête,
Ici on joue à la roulette, [1.75]
J’ai perdu la main,
Je m’avoue vaincue. [1]
Source : parolesmania
Evaluation YDM,
– Rimes 21.75/36 pts
– Punchlines 0.75/2 pts
– Profondeur 0.25/1 pt
– Mélodie 0.25/1 pt
– Flow 0.75/1 pt
Sous-total 23.75/41 soit 11.58/20
12. Marcher Ensemble
Original
nous avons marché ensemble ensemble
si souvent en promenade
au milieu des champs, le soleil et le vent
l’air frais de la campagne
nous avons marché ensemble ensemble
dans les grandes avenues
sur les places et les parkings, parkings
et parfois, j’étais perdue
à te suivre, à te suivre, à te suivre
maintenant, je ne marche plus
tu t’éloignes
je te croise au coin des rues
pour te perdre, pour te perdre pour te perdre
nous avons marché ensemble, ensemble
si souvent en promenade
courses folles et embuscades, embuscades
dans les barils de sables
nous avons marché longtemps, longtemps
j’étais là
tous les chemins mènent à rome
hélas je ne m’y trouve pas
trouve moi trouve moi, trouve moi
car maintenant, je ne marche plus
tu t’éloignes
je te croise au coin des rues
pour te perdre, pour te perdre, pour te perdre
car maintenant, je ne marche plus
je te regarde
je te croise au coin des rues
pour te perdre, pour te perdre, pour te perdre
nous avons marché ensemble, ensemble
si souvent en promenade
courses folles et embuscades, embuscades
dans les vagues et le sable
nous avons marché longtemps, longtemps
j’étais là
tous les chemins mènent à rome
hélas je ne m’y trouve pas
trouve moi trouve moi, trouve moi
car maintenant, je ne marche plus
tu t’éloignes
je te croise au coin des rues
pour te perdre, pour te perdre, pour te perdre
Évalué
nous avons marché ensemble ensemble
si souvent en promenade
au milieu des champs, le soleil et le vent [1.25]
l’air frais de la campagne [1.25]
dans les grandes avenues
sur les places et les parkings, parkings
et parfois, j’étais perdue [2]
à te suivre, à te suivre, à te suivre [1]
maintenant, je ne marche plus
tu t’éloignes
je te croise au coin des rues [2]
pour te perdre, pour te perdre pour te perdre [1]
courses folles et embuscades, embuscades
dans les vagues et le sable [1.25]
nous avons marché longtemps, longtemps
j’étais là
tous les chemins mènent à rome
hélas je ne m’y trouve pas
trouve moi trouve moi, trouve moi [3]
Source : Banlieue immigrée
Evaluation YDM,
– Rimes 12.75/19 pts
– Punchlines 0.75/2 pts
– Profondeur 0.5/1 pt
– Mélodie 0.5/1 pt
– Flow 0.75/1 pt
Sous-total 15.25/24 soit 12.70/20
Pour conclure
Évaluation textuelle de cet album – L’amour l’argent le vent – est de soit 8.70/20 (104.48/12).
Il peut donc être qualifié d’album textuellement médiocre – à découvrir
Osez le bon sens !
YDM
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